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Bonne année 2013 à toutes et tous   laugh

 

Rendez-vous vendredi 11 janvier pour partager la galette

 

Liste d'expositions

EXPOSITION RAPHAËL LES DERNIERES ANNEES

DU 11 OCTOBRE 2012 AU 14 JANVIER 2013

MUSEE DU LOUVRE

"Raphaël, les dernières années" est une exposition historique présentant, pour la première fois, en partenariat

avec le Prado, les oeuvres réalisées par Raphaël à Rome durant les sept dernières années de sa vie.

Autour de chefs-d’oeuvre encore jamais présentés en France, une centaine de peintures, de dessins et

de tapisseries retracent le parcours artistique du maître et de ses deux principaux élèves, de 1513, début du

pontificat de Léon X, à 1524, quand Giulio Romano part pour Mantoue.

Cette période du plein épanouissement stylistique de Raphaël constitue le sommet de la Renaissance

italienne.

Créateur de décors éblouissants, il est également un exceptionnel inventeur de compositions dans

sa peinture de chevalet. Les grands tableaux d’autels et les Saintes Familles destinées à la dévotion

privée témoignent de sa volonté d’atteindre une force narrative nouvelle. Les portraits soulignent la profonde

sensibilité de l’artiste à la psychologie de ses modèles et son talent pour la représenter, comme dans

l’autoportrait avec Giulio Romano et la

Velata.

Mais Raphaël n’est pas un génie solitaire. Un atelier de près de cinquante personnes travaille sous sa

direction et à ses côtés pour la réalisation des commandes qui lui sont passées. Ses collaborateurs de confiance,

Giulio Romano et Gianfrancesco Penni

poursuivent aussi une activité indépendante dans son atelier. La

confrontation inédite des tableaux du maître et de ceux de ses élèves éclaire enfin le fonctionnement de l’atelier

du génie d’Urbino.

Infos Pratiques:

Du 11 octobre 2012 au 14 janvier 2013

Musée du Louvre

Hall Napoléon, sous la pyramide

Billet spécifique à l'exposition : 12€.

Billet jumelé (collections permanentes et exposition) : 15€.

Ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 9 h à 18 h. Nocturnes les mercredi et vendredi jusqu’à 21h45.

VERSAILLES ET L'ANTIQUE

L'EXPOSITION COMMENCE AU CHATEAU DE VERSAILLES

Du 13/11/2012 au 17/03/2013

Le Château de Versailles présente Versailles et l'Antique, une exposition visible dès ce jour, du

13 Novembre 2012 au 17 Mars 2013. Cet événement, qui retracera les différents pans du

château tel qu'il fut imaginé par Louis XIV, sera une occasion unique de réunir les divers

tableaux, sculptures et décors de cette "Nouvelle Rome" !

Versailles et l'Antique, l'exposition visible au Château de Versailles dès aujourd'hui, du 13 Novembre 2012

au 17 Mars 2013, nous invite à découvrir le Château tel qu'il fut pensé par Louis XIV : entre sculptures,

tableaux, tapisseries et mobiliers, l'exposition nous transporte dans le haut lieu de la royauté française tel qu'il

était avant la Révolution française.

En effet, les différents Rois de France avaient pour référence la Rome Antique, symbole du perfectionnisme

artistique à l'époque, qu'ils avaient décidé de reproduire dans l'enceinte du Château : ainsi, depuis Louis XIV,

chaque monarque commandait ou faisait copier des oeuvres antiques pour l'aménagement du Château.

Ainsi, les ouvrages présentés lors de l'exposition proviennent du Château de Versailles ou de prêts

exceptionnels du Musée du Louvre et représentent ainsi le goût du luxe du XVIIème siècle !

Enfin, l'exposition pourra se poursuivre dans les jardins et le Domaine de Versailles, qui révèlent de

nombreuses références à l'Antiquité et au mode de vie de la Rome antique.

SALVADOR DALI

CENTRE POMPIDOU

DU 21 NOVEMBRE 2012 AU 25 MARS 2013

Dalí

au Centre Pompidou, ça vient de débuter! L'icône de l’art moderne y est consacré lors d’une incroyable

rétrospective du 21 Novembre 2012 au 25 Mars 2013, une occasion inédite de redécouvrir les différentes

Tmuvres qui auront façonné toute une génération et permit une lente révolution sexuelle et intellectuelle.

En effet, l’exposition que nous propose le Centre Pompidou compte s’attarder sur la personnalité de Dalí, ses

prises de parti qui ont inspiré ses ouvrages ainsi que ses détracteurs : loin d’être simple spectateur de la vie

publique, nous découvrons un Dalí présentant des shows télévisés, des projets de pièces de théâtre…

Lors de cette exposition, cet « homme de spectacle » nous livre quelques secrets de sa personnalité, ses

craintes et ses attentes ; les Tmuvres blasphématoires ainsi que les Tmuvres paranoïaque-critique font ainsi part

d’une conscience perturbée de l’artiste… Aussi, pour faire part de la réalité, l’exposition retracera le parcours de

l’ Avida Dollars : entre fêtes sans limites, dépenses extravagantes et sa soif de reconnaissance, Dalí restera un

personnage complexe de l’histoire de l’art qu’il est nécessaire de présenter.

Malgré cela, le Centre Pompidou compte bien réunir tous les amateurs d’art autour des grandes Tmuvres

surréalistes telles les Montres Mortes, le Spectre du Sex Appeal et les Cygnes réfléchissant des éléphants tout

en permettant aux plus curieux de renforcer leurs connaissances sur le grand Salvador Dalí.

Aussi, l’exposition devrait rencontrer un franc succès en accueillant plusieurs millions de visiteurs, à l’image de

la surprenante exposition Signé Dalí qui réunit plusieurs dizaine de milliers de curieux en 2011 à l’Espace Dalí.

Horaires : 11h-21h | nocturnes vendredi et samedi jusque 23h | fermé le mardi

Tarifs : 13€ | 10€ tarif réduit

HIROSHIGE ET VAN GOGH

PINACOTHEQUE DE PARIS

DU 03 OCTOBRE 2012 AU 17 MARS 2013

REVES DE JAPON

Les deux expositions présentées simultanément sur les deux sites de la Pinacothèque,

permettent aux visiteurs de confronter l'oeuvre de Van Gogh à celle d'Hiroshige.

Tout a été dit sur la fragilité psychologique de Van Gogh, sur ses troubles bipolaires, sa schizophrénie et sur ses

crises de délire accompagnées d’hallucinations, ainsi que sur leurs conséquences directes sur son Tmuvre et sa

manière de voir le monde. Mais il est légitime de se demander si l’analyse de ses troubles graves, mise en

relation avec l’analyse de ses Tmuvres n’a pas finalement fait oublier l’essentiel.

Une approche plus traditionnelle de son Tmuvre permet de constater avant tout que ses références vont se

tourner vers un art qui est le contraire de celui qu’il a produit : celui de Hiroshige. Un art dont toute la

philosophie repose sur la solidité, la composition, la sérénité, le voyage et la paix intérieure.

Cette rencontre des opposés est étonnante mais rendue possible aujourd’hui grâce à l’exposition simultanée de

l’art de Van Gogh et de celui de Hiroshige à la Pinacothèque de Paris. Jamais une étude aussi poussée des

références de Van Gogh n’avait été faite et jamais une confrontation aussi audacieuse n’avait été tentée. Elle

permet de se rendre compte que les références de Van Gogh au japonisme en général et à Hiroshige en

particulier ne sont pas seulement réduites à quelques Tmuvres phares, copies évidentes du maître d’Edo (ancien

nom de Tokyo jusqu’en 1868), mais que la majorité de ses paysages à partir de 1887 sont construits autour

d’un système référentiel au centre duquel se retrouve, presque systématiquement, l’Tmuvre de Hiroshige.

En montrant une quarantaine d’Tmuvres et principalement des paysages, l’exposition – qui est aussi la première

consacrée uniquement à l’artiste hollandais depuis des décennies à Paris – est une démonstration claire de

l’importance du japonisme dans l’art impressionniste.

La comparaison avec Hiroshige grâce à ces deux expositions concomitantes est évidemment une première qui

permet une confrontation d’une précision incomparable.

·

 

Le billet couplé Van Gogh - Hiroshige

Plein tarif : 17 € Tarif réduit : 14 €

Évitez la file d'attente ! Achetez votre billet en ligne > Plein tarif : 18,50 € Tarif réduit : 15,50 €

COLLECTION MICKAEL WERNER

MUSEE D'ART MODERNE DE PARIS

DU 5 OCTOBRE 2012 AU 3 MARS 2013

Le marchand d’art et collectionneur allemand Michael Werner fait un don exceptionnel de 127 Tmuvres de sa

collection personnelle au musée d’Art moderne de la Ville de Paris. Cette donation rassemble les Tmuvres de

Marcel Broodthaers, James Lee Byars, Gaston Chaissac, André Derain, Otto Freundlich, Etienne-Martin,

Robert Filliou, Antonius Höckelmann, Jörg Immendorff, Per Kirkeby, Wilhelm Lehmbruck, Markus Lüpertz,

A. R. Penck, Bernard Réquichot, Niele Toroni et Don Van Vliet.

La donation reflète les artistes contemporains promus par Michael Werner au fil de sa carrière, ainsi qu’un

ensemble d’Tmuvres de maîtres modernes tels que Lehmbruck, Freundlich et Derain. Les Tmuvres données ont

été sélectionnées par le directeur du musée d’Art moderne de la Ville de Paris, Fabrice Hergott, en fonction de

leur pertinence pour les collections du musée.

Présent à Berlin, Cologne, New York et prochainement à Londres, Michael Werner est l’un des galeristes les

plus influents sur le plan international. Il a apporté son soutien à des artistes majeurs du vingtième siècle tels

que Georg Baselitz, Markus Lüpertz, Jörg Immendorff et Sigmar Polke et a contribué à la reconnaissance

internationale de l’art allemand de l’après-guerre. Constituée à partir des années soixante, sa collection

documente plus de cinquante années d’activité.

A propos de cette donation, Michael Werner précise : « C’est fondamentalement un choix sentimental. C’est

une visite dans ce musée, très tôt dans ma carrière, qui a profondément modifié ma compréhension et mon

rapport à l’art. En 1962, j’étais venu à Paris avec Georg Baselitz voir ici une exposition de Jean Fautrier qui m’a

bouleversé. L’exposition, qui réunissait plein de peintures étranges et extraordinaires, et son atmosphère

prenante m’ont vivement ému. Bien que travaillant dans une galerie depuis quelques années déjà, je n’avais

jamais encore été touché aussi fortement par l’art. L’effet que m’avait fait cette exposition a marqué ma

véritable entrée dans le monde de l’art et déterminé mon parcours. Je ne suis pas un homme religieux, mais

cela ressemblait bien à une conversion religieuse. »

Fabrice Hergott, directeur du musée d’Art moderne de la Ville de Paris se félicite : « La donation Michael

Werner est le plus grand enrichissement de nos collections depuis le legs du docteur Maurice Girardin en 1951,

qui fut à l’origine de la création du Musée d’Art moderne de la Ville de Paris. »

HORAIRES

Du mardi au dimanche de 10h à 18h - Nocturne le jeudi jusqu’à 22h

TARIFS Plein tarif

: 9€ Tarif réduit : 7 € (plus de 60 ans, enseignants, chômeurs, famille nombreuse)

LES COULEURS DU CIEL - PEINTURES DES EGLISES DE PARIS AU

XVIIE SIECLE

MUSEE CARNAVALET

DU 4 OCTOBRE 2012 AU 24 FEVRIER 2013

Découvrez une rétrospective inédite consacrée à la

peinture du XVIIe siècle dans les églises de la capitale.

Environ cent vingt peintures, dessins et gravures issus de

collections françaises et étrangères seront rassemblés

pour la première fois au musée Carnavalet.

Ce patrimoine exceptionnel et spectaculaire, en partie

dispersé pendant la Révolution française, est aujourd’hui

peu connu du grand public. Décorées par les plus grands

maîtres français du XVIIe siècle comme Nicolas Poussin,

Simon Vouet ou Philippe de Champaigne, les églises de

Paris constituent les plus anciens musées de la

capitale.

Le musée Carnavalet et la Conservation des

TLuvres d’Art Religieuses et Civiles de la Ville de Paris

(COARC) proposent au visiteur de redécouvrir le

dynamisme créatif de l’époque et la place centrale de la

peinture religieuse dans le contexte artistique d’alors.

L’exposition suit un axe à la fois chronologique et

stylistique et développe quelques grandes thématiques

liées à l’art religieux : importance et diversité des

commanditaires

(famille royale, confréries), étapes

de la création

(dessins préparatoires, réductions),

intégration des décors dans l’architecture...

Un

ensemble unique de travaux préparatoires aux Mays de

Notre Dame, ces grands tableaux offerts chaque année à

la Cathédrale par la confrérie des orfèvres, sera

également présenté.

La visite au musée Carnavalet se poursuit par un

parcours

in situ dans les églises Saint-Eutache,

Saint-Nicolas-des-Champs et Saint-Joseph-des-Carmes :

il permet d’appréhender les Tmuvres dans le contexte

architectural pour lesquelles elles ont été créées. Les

visiteurs pourront ainsi apprécier les restaurations

récemment effectuées dans certaines chapelles privées

pour redonner à ces lieux l’éclat du Grand Siècle.

Ouvert tous les jours, de 10 h à 18 h

sauf les lundis, jours fériés, dimanches de Pâques et de

Pentecôte

Tarifs

Plein tarif : 7 €

Tarif réduit : 5 €

L'ART EN GUERRE, FRANCE 1938-1947

DE PICASSO A DUBUFFET

MUSEE D’ART MODERNE

Du 12 OCTOBRE 2012 Au 17 FEVRIER 2013

En introduction,

l’Exposition internationale du Surréalisme de janvier 1938 apparaît comme

prémonitoire au moment de la montée des périls, avant même les accords de Munich et « sous l’angle du

sombre » et de « l’étouffant » défini par André Breton et Marcel Duchamp. Certains de ses exposants seront

bientôt arrêtés alors que les autres tenteront de s’exiler sans que ce soit toujours possible.

Après la drôle de guerre et la défaite de la France, avec l’Occupation nazie et l’instauration du

régime de Vichy,

jusque dans les nombreux camps d’internement et les prisons en France, on crée encore :

des Tmuvres de survie traduisent l’énergie désespérée d’artistes qui adaptent leur processus de création et leurs

matériaux - cire, ficelle, pierre, papier à musique ou d’emballage, etc. (Bellmer, Brauner, Ernst, Freundlich,

Gotko, Gumichian, Hamelin, Kolos-Vary, Lévy, Nussbaum, Payen, Prieto, Rosenthal, Salomon, Soos, Springer,

Taslitzky, Warszawski, Wols…)

Les artistes sont condamnés à s’adapter aux nouvelles réalités des années noires et, pour certains d’entre eux, à

la clandestinité dans les refuges : à Marseille, Grasse, Sanary ou Dieulefit (Arp, Brauner, Sonia Delaunay,

Hausmann, Magnelli, Masereel, Räderscheidt, Steib, Taeuber, Tita …). Dans la partie la plus visible de la scène

parisienne, dominent les maîtres référents, Matisse, Picasso, Bonnard, Rouault, et les « jeunes peintres de

tradition française » qui s’en réclament (Bazaine, Estève, Fougeron, Lapicque, Manessier, Singier…).

L’ouverture partielle du Musée national d’art moderne, en 1942, au Palais de Tokyo, permet de saisir le goût

timoré de l’époque expurgée de ses « indésirables » : juifs, étrangers, anticonformistes, etc. Par contraste, la

galerie Jeanne Bucher est l’une des rares exceptions à présenter (sans publicité) des pièces d’artistes jugés «

dégénérés » par la propagande totalitaire en Allemagne mais aussi en France. (Klee, Domela, Kandinsky, De

Staël…).

Quant à Picasso, l’audace est intacte : interdit d’exposition et reclus dans son atelier des Grands-Augustins, il

multiplie les chefs-d’Tmuvre : L’Aubade, le Grand nu, les Têtes de mort, les dessins érotiques, Tête de taureau

ou sa pièce de théâtre Le désir attrapé par la queue.

Entre 1944 et 1947, les Tmuvres de l’après-guerre

répondent à la violence faite aux corps et aux esprits

depuis des années. Cette partie de l’exposition questionne la redéfinition des grands mouvements modernes,

les uns assurent la « Reconstruction » — autour du Parti communiste français (Fougeron, Herbin, Pignon…) et

du renouveau de l’Art sacré —, les autres empruntent une ligne de fuite radicale : tachisme, informel, art brut,

lettrisme, récupération de déchets ou d’objets rejetés par la guerre. Tout témoigne de l’irrépressible

décompression psychique à l’Tmuvre comme seule réponse à l’histoire (Atlan, Bissière, Debré, Fautrier,

Giacometti, Hartung, Leduc, Masson, Richier, Riopelle, Soulages, Schneider, Tal-Coat…). Le premier vrai

scandale après la Libération est déclenché en 1946 par l’exposition Dubuffet à la galerie Drouin : Mirobolus,

Macadam et Cie. Hautes Pates,

mis en relation avec tout ce qui compte alors en matière d’art « autre » chez les

naïfs, les anonymes dans les asiles ou chez tous les « anartistes » (Artaud, Bryen, Chaissac, Corbaz, Duf,

Forestier, Hyppolite, Michaux, Miro, Pujolle, Villeglé, Wols…).

L’exposition bénéficie de prêts exceptionnels des plus grandes institutions nationales et internationales ainsi

que de très nombreux collectionneurs privés.

Plus de 100 artistes présentés

dont des anonymes

HORAIRES

Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h

Nocturne le jeudi jusqu’à 22h

TARIFS

Plein tarif

: 11 €

Tarif réduit

: 8 € (plus de 60 ans, enseignants, chômeurs, famille nombreuse)

CANALETTO A VENISE

MUSEE MAILLOL

DU 19 SEPTEMBRE 2012 AU 10 FEVRIER 2013

Sous le haut patronage de la ville de Venise

Voir ou revoir Venise à travers l’oeuvre de Canaletto.

En choisissant comme scène la Sérénissime, sa ville natale, Antonio Canal, le plus grands des védutistes de son

temps, a imprimé pour toujours l’image de lieux que chacun porte dans son imaginaire.

Pour la première fois à Paris, une exposition consacrée uniquement à Canaletto à Venise permettra de

découvrir des chefs-d’Tmuvre provenant de collections privées et des plus grands musées, certains n’ayant

jamais été exposés depuis plus d’un siècle, la plupart jamais vu en France.

46 peintures, surtout des grands formats, le Carnet de croquis exceptionnellement prêté par la Ville de Venise,

des dessins et l’appareil optique de Canaletto permettront de mieux comprendre pourquoi à travers les vues de

Canaletto l’image de Venise est dès le XVIIIème siècle aussi célèbre que le ville elle-même.

Dans le même temps, à Venise, le Museo Correr présentera la grande exposition monographique de Francesco

Guardi pour célébrer le tricentenaire de sa naissance.

Horaires d'ouverture de 10h30 à 19h00. Vente des billets jusqu'à 18h15

Nocturne le vendredi jusqu'à 21h30. Vente des billets jusqu'à 20h45

Ouvert tous les jours, même le mardi et les jours fériés

Fermé les 25 décembre et 1er janvier

Fermeture à 17h les 24 et 31 décembre

Prix d'entrée :

11 €

Les billets achetés en ligne (

billetterie du musée ou FNAC) ne peuvent être retirés au musée. Vous devez

impérativement les imprimer.

Aucune réservation possible pour les billets individuels

EDWARD HOPPER

GALERIES NATIONALES DU GRAND PALAIS

DU 10 OCTOBRE 2012 AU 28 JANVIER 2013

Les peintures d’Edward Hopper ont la simplicité trompeuse des mythes, l’évidence des images d’Epinal.

Chacune d’elles est un condensé des savoirs hypothétiques, des rêves que nous inspire l’Amérique. Expression

des sentiments les plus poignants, ou pures constructions mentales, ces peintures donnent lieu aux

interprétations les plus contradictoires.

Romantique, réaliste, symboliste, et même formaliste, Hopper a été enrôlé tour à tour sous toutes les

bannières. C’est cette complexité, signe de la richesse de cette oeuvre que s’efforce d’éclairer cette exposition.

Conçue chronologiquement, elle se compose de deux grandes parties : la première, consacrée aux années de

formation, rapproche les Tmuvres de Hopper de celles de ses contemporains et de celles, découvertes à Paris,

qui ont pu l’inspirer. La seconde partie à l’art de la maturité, des premières peintures emblématiques de son

style personnel à ses Tmuvres ultimes.

HORAIRES ET TARIFS

Lundi : 10h-20h

Mardi : fermé

Mercredi, jeudi, vendredi : 10h-22h

Samedi, dimanche : 9h-22h

Et pendant les vacances scolaires de Noël : ouverture de 9h à 23h tous les jours !

Fermeture le 25 décembre.

Fermeture exceptionnelle à 18h les 24 et 31 décembre.

Plein tarif : 12 euros

DU FLEUVE ROUGE AU MEKONG, VISION DU VIET NAM

MUSEE CERNUSCHI

DU 21 SEPTEMBRE 2012 AU 27 JANVIER 2013

À partir de la seconde moitié du XIXe siècle, de Hanoi, sur la rive droite du fleuve Rouge, dans le nord du Viêt

Nam (ancien Tonkin) jusqu’à Saïgon et au bassin du Mékong dans le sud (ancienne Cochinchine), les hommes

et les monuments suscitèrent l’intérêt et la création des voyageurs et des peintres français.

Des écoles d’arts appliqués furent rapidement créées, l’Ecole de Thủ Dủu Mủt (1901) spécialisée dans

l’ébénisterie et le laque, l’Ecole d’Art de Biên-Hoà (1903) dans la fonderie d’art et la céramique, l’Ecole des

Arts décoratifs de Gia Ðủnh ( 1913) dans la gravure. En 1924, l’Ecole des beaux-arts de Hanoi, fut ouverte

grâce aux efforts conjugués du peintre Victor Tardieu et d’un jeune Vietnamien, Nguyủn Nam Sủn. Elle

accueillit de nombreux professeurs, Prix de l’Indochine, qui formèrent les artistes indochinois aux techniques

occidentales: architecture, peinture, sculpture, laque.

Ces institutions apportèrent un nouvel élan à la production locale, renouvelant ses thématiques et son

approche stylistique. Les artistes témoignent d’une fusion entre deux civilisations. Au travers de scènes

souvent intimistes, ils livrent un regard sensible sur la vie contemporaine où la femme occupe une place

souvent centrale.

Tarifs : 7€ / 5€ / 3,50€ (tarif Jeunes)

gratuit jusque 14 ans

VISITES COMMENTEES (1h30)

Sans réservation

Tous les mardis et jeudis à 14h30

Tous les samedis à 15h

4,50€ + entrée de l'exposition

CONFERENCES DE 13h (1h)

Sans réservation

L'histoire du Viêt Nam ancien

Mardi 2/10, 16/10, 13/11, 27/11, 11/12 à 13h - 4,50€

L'histoire de la ville de Hanoï

mardi 9/10, 23/10, 20/11, 4/12, 18/12 à 13h - 4,50€

SOUTINE AU MUSEE DE L'ORANGERIE

DU 03 OCTOBRE 2012 AU 21 JANVIER 2013

Réunis par la passion du marchand Paul Guillaume pour ces « portraits où la mesure et la démence luttent et

s’équilibrent », vingt-deux tableaux du peintre russe Chaïm Soutine (1893-1943) sont conservés par le musée

de l’Orangerie.

Ils seront le noyau d’une rétrospective, organisée à l’automne 2012, célébrant la puissance expressionniste et

l’ardeur d’une palette uniques dans le Paris de l’entre-deux-guerres. L’influence que cette Tmuvre eut sur les

artistes de la fin du XXème siècle rend nécessaire un nouveau regard sur un peintre encore incompris en

France.

Horaires

Ouvert tous les jours, sauf le mardi, le 1er mai, le matin du 14 juillet et le 25 décembre, de 9h à 18h (pas

d'entrée après 17h30 - évacuation à 17h45)

Tarifs

(sous réserve de modifications)

Droit d’entrée

plein tarif : 7,5 €

L'IMPRESSIONISME ET LA MODE

MUSEE D'ORSAY

DU 25 SEPTEMBRE 2012 AU 20 JANVIER 2013

UN STYLE CASUAL

De la fin du Second Empire au début de la IIIe République, les impressionnistes s’efforcent de traduire les

métamorphoses d’un monde en pleine mutation. Soucieux de capter l’air du temps, les peintres cherchent à

représenter leurs contemporains dans des activités et des attitudes de leur temps, ainsi qu’à rendre compte de

la manière dont ils sont habillés. En s’attachant à représenter la mode de l’époque, Édouard Manet et les

artistes de La Nouvelle Peinture réinventent la scène de genre pour en faire un sujet moderne.

L’impressionnisme inscrit le vêtement dans la vie quotidienne, célèbre l’élégance de la Parisienne, s’approprie

les accessoires et les dessous pour en faire des attributs de séduction, détaille les transformations du vestiaire

masculin et révèle les mTmurs du moment.

Ouverture de 9h30 à 18h

le mardi, le mercredi, le vendredi, le samedi et le dimanche

de 9h30 à 21h45 le jeudi

Vous pouvez acheter votre billet d'entrée en ligne ou sur place, au musée, pour un accès le jour-même ou

ultérieur.

Plein tarif 12 €

Tarif réduit,

·

 

Pour les 18-25 ans non ressortissants et non résidents de longue durée d'un pays de l'Union

européenne

·

 

Pour tous à partir de 16h30 (sauf le jeudi et le samedi)

·

 

Pour tous, le jeudi en nocturne, à partir de 18h

9,50

CANALETTO - GUARDI

MUSEE JACQUEMART ANDRE

JUSQU’AU 21 JANVIER 2013

L’exposition s’ouvre sur une présentation des grands maîtres vénitiens parmi lesquels Canaletto a fait ses

débuts comme védutiste. En mettant en exergue ses liens avec ces illustres précurseurs, l’exposition montre

que Canaletto s’inscrit dans une tradition picturale qui s’est développée tout au long du XVIIIe siècle.

C’est avec Gaspar van Wittel (1652/3-1736), qui découvre Venise à la fin du XVIIe siècle, que naît le genre de la

veduta. Sa contribution est essentielle et son enseignement technique, associant l’usage de la camera obscura

et la réalisation méthodique de dessins préparatoires, a eu une grande influence sur les autres védutistes. Luca

Carlevarijs (1663-1730) a ainsi poursuivi cette approche scientifique, en l’enrichissant de sa passion pour la

représentation des figures.

Les tableaux de jeunesse de Canaletto (1697-1768) illustrent quant à eux le sens de la perspective, le style et le

goût pour les figures qui distinguent déjà l’artiste au début de sa carrière. Avec sa virtuosité, Canaletto donne

un souffle nouveau à la veduta, qui connaît grâce à lui un épanouissement sans précédent. Tout en travaillant,

comme ses aînés, l’art de la composition et de la perspective, le jeune Canaletto accorde une place particulière

à la lumière et aux effets atmosphériques, comme en témoigne L’Entrée au Grand Canal, avec Santa Maria

della Salute, vers l’ouest

(Musée des Beaux-arts de Grenoble).

Le Musée

est ouvert tous les jours de 10h à 18h. Nocturne les lundis et samedis jusqu’à 21h.

Le Café Jacquemart-André

est ouvert du lundi au vendredi de 11h45 à 17h30. Brunch les samedis et

dimanches de 11h à 15h.

Individuels

Plein tarif : 11 €

RUBENS, VAN DYCK, JORDAENS

MUSEE MARMOTTAN

JUSQU’AU 3 FEVRIER 2013

Dans le cadre d'un accord de partenariat exceptionnel entre le musée Marmottan Monet et les Musées royaux

des Beaux-Arts de Belgique, le musée Marmottan Monet présente du 20 septembre 2012 au 3 février 2013

l'exposition Rubens, Van Dyck, Jordaens et les autres. Peintures baroques flamandes aux Musées royaux des

Beaux-Arts de Belgique.

L'exposition propose une sélection de quarante-et-un tableaux des anciens Pays-Bas méridionaux du « Siècle

d'Or » qui regroupe tous les grands genres, de la peinture d'histoire à la nature morte, en passant par le

portrait, la scène de genre et le paysage dans lesquels les artistes du Nord excellaient.

Certains sont des acquisitions récentes ou font le voyage à Paris pour la première fois.

Parmi les pièces maîtresses, Les Miracles de Saint Benoît de Rubens, tableau entièrement autographe au

caractère inachevé, met à nu la virtuosité de l'artiste. L'exposition comprend également le truculent Le Roi boit

de Jacques Jordaens, ainsi qu'un imposant Portrait de femme du même maître – qui rappelle à bon escient

qu'il n'était pas qu'un peintre de scènes truculentes –, confronté à deux portraits d'Antoine van Dyck, dont l'un

de ses chefs-d'oeuvre, Le Portrait du Père Jean Charles della Faille. Le paysage, la scène de genre et la nature

morte sont, quant à eux, représentés par les maîtres qui contribuèrent le plus à leur succès, au premier rang

desquels Paul Bril, Lucas van Uden, David Teniers le Jeune, Frans De Momper, Jan Fyt et Abraham Brueghel.

L'exposition fait aussi la part belle à des tableaux de maîtres moins connus, mais qui bénéficièrent à leur

époque d'une grande renommée, tels que Cornelis Schut, Gérard de Lairesse, Jacob van Oost l'Ancien, Jan

Siberechts, Gillis van Tilborch ou David Ryckaert. Elle présente enfin le Silène ivre et endormi attaché par la

nymphe Eglé et des putti, dernière acquisition de la section peinture ancienne des Musées royaux et dont

l'auteur, le peintre d'origine bruxelloise Karel Philips Spierinck, fut l'un des tout premiers émules de Nicolas

Poussin.

En accueillant quelques uns des plus beaux chefs-d'oeuvre de la peinture baroque flamande, le musée

Marmottan Monet rend ainsi accessible un patrimoine unique issu des collections des Musées royaux des

Beaux-Arts de Belgique qui ont su, au fil du temps, se constituer une collection d'art de ses régions hors du

commun, qui compte aujourd'hui parmi les plus importantes d'Europe.

Cette exposition inaugure un accord de partenariat exceptionnel entre le musée Marmottan Monet et les

Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, visant à valoriser leurs collections réciproques au travers

d'expositions temporaires qui éclairent à chaque fois un aspect particulier de celles-ci.

Elle sera suivie par Claude Monet et le japonisme qui se tiendra à Bruxelles puis à Paris (2014 et 2015).

Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h

Nocturne le jeudi jusqu'à 20 h

Fermé au public le lundi, le 1er mai, le 25 décembre, et le 1er janvier

TARIFS

Plein tarif : 10 euros

 

Bienvenue !

 

Bonjour à tous !

Bienvenue sur le blog de l'association pour partager vos talents créatifs . 

Picturalement votre ! cool

 

 

 

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